Par Jean-Pierre Moya
Il arrive un moment dans la vie – en général, plutôt vers la fin qu’au début – où l’on éprouve le besoin de désencombrer son décor, de se débarrasser du superflu, de voyager léger. Ça devient même urgent lorsqu’on a la passion de la musique et qu’on a accumulé pendant des décennies des milliers de 45 tours, d’albums vinyle et de compact-discs. Alors voilà, le moment est venu de liquider avant fermeture : on revend, on donne, on jette, on disperse, on ventile. Mais avant cela, un dernier passage à l’antenne pour se souvenir des belles choses. C’est une émission. Ça s’appelle Tout doit disparaître !
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